Comme d'hab', pour réagir à l'édito, c'est ici que ça se passe !

> Je réclame avec la dernière énergie la médaille d'honneur
> du finisseur à l'arrache d'édito halluciné

Médaille d'argent, alors, car dans ta précipitation tu as laissé passer une faute d'orthographe, ce qui ne t'arrive que dans de très rares occasions, et souvent lorsque tu es en colère !


En tous cas, merci pour toute cette bonne poudre dont tu nous as largement dispensé pour la sortie de samedi, et va courir encore un peu, j'ai vu qu'un fort vent du Sud s'était levé, et ça c'est pas très bon pour nos affaires !

Horrrrible ! Si c'est bien celle-là dont on parle, voilà qui est corrigé.
Oui, il y a dû avoir des trucs (sur le forum ?) qui m'ont un peu irrité. Je crois que ce doit être la seule explication possible

Je voudrais taper un truc, mais il faut que j'aille courir un marathon pour toruver quoi...

Duj (essouflé)

Excellent !

Il suffit d'écrire un édito sur la course à pied parceque l'eneigement est moyen pour qu'il pose 70cm de peuf.
J'espère que tu vas nous écrire un édito sur la canicule pour janvier, et on est assuré d'avoir de la neige tout l'hiver !

Tu pourrais faire un édito sur ma vie sexuelle après STP.

Mille mercis

Pour en revenir à l'effet pseudo-euphorique de la course, je dirais qu'en courant sans être dans le rouge, durant un jog peinard, tu ventiles pas mal et ça apporte un max d'oxygène au cerveau. Ceci explique peut-être cela.

Et effectivement, la peine de l'effort fourni s'équilibrant avec la joie des sensations accrues, tu rentres dans une sorte de zénitude qui te permet d'aller assez loin. Peinard, en touriste. Tu te rends même plus compte que tu avales des kilometres de bitume ou de petit chemin. Accrue l'olfaction, tu perçois plus d'odeurs, accrue la vision, et la lumière est plus éclantante. A moins que tu sues à fond et que ca te coule dans les yeux, et là tu vois mal et tu sens pas mieux. Mais si tu y vas peinard, à la fraiche, tu chauffes pas trop.

Moi-même, quand j'arrive sur un nouveau spot de vacances, je vais souvent explorer les environs en casant une boucle de 10 bornes, en touriste. Sauf quand y a de la neige partout évidemment.

Maintenant pour déclencher 1 metre de poudre ou un ouragan, faut penser très fort quand même.

Gastoune

Pour l'olfaction, je suis pas sûr. A mon avis le nez est saturé rapidement.
Pour ce qui est de l'euphorie, elle est sauf inexistante. Le coureur récurrent à adapté son corps à l'effort et il lui suffit de qques minutes de course pour que le cerveau commence à l'inonder d'endorphines pour contrer les douleurs musculaires dues à la sur-production de déchets du métabolisme.
Si celui qui court peu se retrouvera avec une belle courbature et une sale douleur, c'est parce que son corps avait pas prévu le coup et commence à envoyer les endorphines plus tard.
Le cerveau du coureur récurrent est habitué à cet effort et commence tout de suite.

Il est d'ailleurs connu que les accro du jogging, ceux qui vont faire leurs qques kmtous les matins, se sentent mal s'ils ne les font pas. C'est simplement dû à l'accoutumance... ils sont accros à leur décharge d'endorphine matinale. Après tout, c'est qd même une petite dizaine de fois plus puissant que la morphine comme drogue cette petite molécule.

c'est bo un dujduj qui cause!
t'es aussi dans la biotechnomachin comme magik toi ?
juste, ca veut dire koi "elle est sauf inexistante. "

va t'inscrire a la sortie RESTO A PARIS LE 15 DECEMBRE au lieu de fabriquer ton endorphines dans ton coin.

Gastoune

j'ai oublié le "tout" entre "est" et "inexistante"... c'est ça la science: emporté par mon sujet j'en oublie les mots.